Lors de cet été 2022, nous avons procédé à des travaux fonctionnels et d'embellissement de nos locaux ADE, pour permettre une meilleure qualité de travail aux équipes.
En concertation avec les ergonomes de la médecine du travail de Nancy et de notre architecte Bérangère HAEGI (www.berangerehaegy.com), nous avons pu améliorer les postes de chacun et créer une atmosphère plus confortable, efficace et à notre image.
Merci à nos prestataires de qualité, que vous pouvez solliciter en toute confiance :
Travaux : www.deco-renoveco.com
Ameublement : www.tecoffice.fr
Matériel informatique : www.b2c.ingedus.com
Réseaux : www.elecinfograndest.com
N'hésitez pas à venir nous rencontrer pour échanger sur le développement des EnR, ou pour nous affronter autour d'une partie de fléchettes !
Des postes restent disponibles pour postuler et intégrer l'équipe.
16 Bis Avenue Foch 54270 ESSEY-LES-NANCY
antoine.pedersoli@ade-enr.com
Face à des temps d’instruction des dossiers qui frôlent les huit ans et à des recours quasi-systématiques, certains développeurs de parcs éoliens augmentent leurs capacités dans le solaire. Pas question pour autant d’abandonner totalement l’éolien, les deux sources d’énergie étant vues comme complémentaires. pv magazine France a mené l’enquête auprès de plusieurs d’entre eux.
Entre sept et huit ans. C’est actuellement le délai de développement d’un projet éolien, des premières prospections jusqu’à la mise en service d’une installation. Une durée qui s’allonge au fil des années. « L’éolien devient très compliqué en France, regrette Antoine Pedersoli, président de la société ADE lors d’une interview avec pv magazine France. Pour des raisons supposées de nuisances visuelles ou sonores, les oppositions aux projets deviennent de plus en plus vives et structurées. Par ailleurs, il y a eu une cristallisation des débats pendant la campagne présidentielle française, où plusieurs candidats ont fait de l’éolien leur cheval de bataille. Ça s’est ancré dans la tête des gens ».
Petite structure basée à Nancy, dans le Nord-Est, ADE est à l’origine une entreprise familiale baptisée « Les vents Meuse sud ». Elle a mis en service son premier parc éolien en 2006, qui vient d’être revendu à VSB. « Résultat de ce contexte défavorable, beaucoup de nos projets sont freinés et de nombreuses prospections n’aboutissent pas », poursuit Antoine Pedersoli.
En comparaison, le développement de projets solaires, avec des délais d’instruction de quatre à cinq ans, apparaît donc comme beaucoup plus simple et rapide. « Nous sommes un développeur et exploitant bi-énergie (éolien et solaire), relate un acteur qui a souhaité rester anonyme. Bien sûr, quand les équipes de développement éolien doivent sans cesse repousser les projets, la réflexion de se focaliser davantage sur le photovoltaïque prend son sens. Les volumes raccordés en solaire sont en comparaison plus rapides à obtenir et il y a surtout moins de recours quasi-systématiques ».
Historiquement présent dans l’éolien, ADE a également fait ce cheminement il y a un an et demi. « Nous nous sommes alors rapprochés de nos partenaires pour accroître notre connaissance dans le PV en menant des co-développements de projets », raconte Antoine Pedersoli. Désormais, l’entreprise envisage d’accélérer son activité sur le développement en propre. « Notre ambition est d’atteindre dans trois à quatre ans entre 50 et 80 MWc de capacité solaire à différents stades de développement et peut-être de devenir exploitant de quelques parcs ». Par exemple, l’entreprise a actuellement un projet de développement de 15 hectares, pour une puissance de 15 à 17 MWc e’ Moselle.
Parallèlement, elle a engagé une fusion avec son partenaire, la petite société 3N Développement, basée à Nîmes. « ADE compte cinq collaborateurs et 3N, quatre personnes, poursuit Antoine Pedersoli. L’idée est donc de mettre nos forces et compétences en commun pour atteindre prochainement une équipe de 12 personnes, pour peser plus lourd dans le secteur du développement qui est de plus en plus concurrentiel ». La société cherche aussi à s’associer avec un tiers investisseur, « soit un fonds d’investissement, soit un autre développeur ».
De son côté, Windvision, un développeur belge, a commencé son activité en 2002 dans le développement de parcs éoliens. Repris en 2020 par le fonds d’investissement GRPIII, géré par BlackRock, l’entreprise présente sur les marchés belge, français et espagnol, a alors réfléchi à sa diversification. « Nous avons regardé les autres technologies EnR, se souvient Simon Neerinckx, son CEO. Avec des délais de développement plus raisonnables, le solaire nous a semblé tout à fait pertinent. Le taux de rentabilité est certes moins important que dans l’éolien, mais les projets peuvent aller plus vite et les puissances sont plus élevées ».
Au début, la société prospecte sur le solaire en toiture. « Mais en tant que développeur, la valeur ajoutée était assez limitée, c’est pourquoi nous avons décidé de nous focaliser sur les grands projets au sol de plus de 1 MWc », complète Simon Neerinckx. Dans ce cadre, Windvision fait l’acquisition de Terre & Watts Développement, une société de 8 personnes, qui a apporté un portefeuille solaire en développement de 1 GW. « En septembre 2021, nous étions à 90 % dans l’éolien et à 10 % dans le solaire, chiffre le CEO. Désormais nous sommes à 50/50 et cela nous convient très bien, cela permet de mieux panacher notre pipeline de projets en développement ».
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Pour plus d'information, vous pouvez consulter cet article rédigé par GWÉNAËLLE DEBOUTTE.
Dans sa dernière toute dernière campagne, Mercedes-Benz célèbre la force du vent, grand ennemi des constructeurs automobiles jusqu’alors.
En effet, le constructeur allemand se félicite d’entamer dès à présent sa transition écologique en annonçant que d’ici 2022, toutes ses usines utiliseront une électricité provenant entièrement de sources d’énergies renouvelables. Mercedes-Benz s’associe à l’agence Publicis Emil afin de nous délivrer cette nouvelle décoiffante dans un spot de 1 minute et 27 secondes aux visuels attrayants accompagnés d’une reprise du « Come Together » des Beatles.
Alors qu’une tempête fait rage à l’extérieur, la pub nous dévoile peu à peu les courbes d’une voiture. Finalement une éolienne représentant le passage au renouvelable de Mercedes se transforme en son logo. Les hélices cèdent ainsi leur place à la célèbre étoile à trois pointes représentant les trois voies que le créateur des moteurs à essence Gottlieb Daimler avait choisies pour son invention : terre, mer et bien sûr, air.
Un bon moyen pour le constructeur de rendre hommage à son identité visuelle, mais aussi aux 130 années de lutte pour le pouvoir entre la force de la nature et les automobiles en quête d’aérodynamisme représentés par la phrase « Après des années de lutte contre le vent, nous unissons nos forces ».
Cette campagne mondiale s’inscrivant dans la démarche écologique naissante de Mercedes-Benz sera déclinée sous la forme de prints, mais aussi d’un spot TV de 60 secondes diffusé dans de nombreux pays.
Article rédigé par lareclame.fr